Saint-Luc Tournai - Centre de documentation
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Auteur Armance Léger |
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Titre : Daniel Pommereulle, la cruauté au musée Type de document : texte imprimé Auteurs : Armance Léger, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 66-70 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Catégories : A:Art -- France -- 20e siècle
A:Art conceptuel
M:Musée d'art moderne (Paris)
P:Pommereulle, Daniel (1937-2003)
S:Sculpture -- France -- 20e siècle
V:Violence -- Dans l'artRésumé : En mai 2024 a ouvert au musée d'Art moderne de Paris (MAM) une salle dédiée à Daniel Pommereulle (1937-2003). Vingt ans après la disparition de l'artiste français, son oeuvre occupe une place nouvelle dans le récit de la création artistique de la seconde moitié du 20e siècle. A l'origine : l'acquisition d'un "Objet de prémonition" (1975), ainsi que le donation par la fille de l'artiste et par la galerie Christophe Gaillard d'un ensemble contemporain. Un évènement pour un artiste à la réputation "impossible", qui s'est singularisé par l'invention d'une esthétique de la violence et de la cruauté et qui a oeuvré toute sa vie à ne pas faire recette, refusant, selon la belle formule de Jean-Christophe Bailly, "d'exercer son art comme on tient une boutique".
in Art press > 522 (juin 2024) . - p. 66-70[article] Daniel Pommereulle, la cruauté au musée [texte imprimé] / Armance Léger, Auteur . - 2024 . - p. 66-70.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Art press > 522 (juin 2024) . - p. 66-70
Catégories : A:Art -- France -- 20e siècle
A:Art conceptuel
M:Musée d'art moderne (Paris)
P:Pommereulle, Daniel (1937-2003)
S:Sculpture -- France -- 20e siècle
V:Violence -- Dans l'artRésumé : En mai 2024 a ouvert au musée d'Art moderne de Paris (MAM) une salle dédiée à Daniel Pommereulle (1937-2003). Vingt ans après la disparition de l'artiste français, son oeuvre occupe une place nouvelle dans le récit de la création artistique de la seconde moitié du 20e siècle. A l'origine : l'acquisition d'un "Objet de prémonition" (1975), ainsi que le donation par la fille de l'artiste et par la galerie Christophe Gaillard d'un ensemble contemporain. Un évènement pour un artiste à la réputation "impossible", qui s'est singularisé par l'invention d'une esthétique de la violence et de la cruauté et qui a oeuvré toute sa vie à ne pas faire recette, refusant, selon la belle formule de Jean-Christophe Bailly, "d'exercer son art comme on tient une boutique".