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Auteur Stéphane Corréard |
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"Dans l'art, l'humour, soit 'est un filon, soit ça a mauvaise presse" (Pierre Cornette de Saint Cyr & Stéphane Corréard) / Stéphane Renault in Beaux arts, 326 (août 2011)
[article]
Titre : "Dans l'art, l'humour, soit 'est un filon, soit ça a mauvaise presse" (Pierre Cornette de Saint Cyr & Stéphane Corréard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Renault, Intervieweur ; Pierre Cornette De Saint Cyr, Personne interviewée ; Stéphane Corréard, Personne interviewée ; David Coulon, Photographe Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 88-89 Langues : Français (fre) Catégories : A:Art -- Commerce
C:Commissaires-priseurs
C:Critique d'art
H:Humour -- Dans l'artRésumé : L'un est commissaire-priseur et fut président du Palais de Tokyo, l'autre, critique d'art, est directeur artistique du Salon de Montrouge. Entretien croisé au fil d'anecdotes collectées dans l'intimité des ateliers.
in Beaux arts > 326 (août 2011) . - p. 88-89[article] "Dans l'art, l'humour, soit 'est un filon, soit ça a mauvaise presse" (Pierre Cornette de Saint Cyr & Stéphane Corréard) [texte imprimé] / Stéphane Renault, Intervieweur ; Pierre Cornette De Saint Cyr, Personne interviewée ; Stéphane Corréard, Personne interviewée ; David Coulon, Photographe . - 2011 . - p. 88-89.
Langues : Français (fre)
in Beaux arts > 326 (août 2011) . - p. 88-89
Catégories : A:Art -- Commerce
C:Commissaires-priseurs
C:Critique d'art
H:Humour -- Dans l'artRésumé : L'un est commissaire-priseur et fut président du Palais de Tokyo, l'autre, critique d'art, est directeur artistique du Salon de Montrouge. Entretien croisé au fil d'anecdotes collectées dans l'intimité des ateliers. Robert Coutelas, artiste de la liberté (ou de la mort) / Stéphane Corréard in Les arts dessinés, 23 (juillet/septembre 2023)
[article]
Titre : Robert Coutelas, artiste de la liberté (ou de la mort) Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Corréard, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 132-135 Langues : Français (fre) Catégories : C:Coutelas, Robert (1930-1985) Résumé : Pour beaucoup, être artiste est une occupation, un métier, une carrière, voire une posture. D'autres, comme Robert Coutelas (1930-1985), préfèrent "devenir fous, dans le sens où socialement on l'entend, que de forfaire à une certaine idée supérieure de l'honneur humain", comme l'a écrit Antonin Artaud à propos de Vincent Van Gogh. Peu importe alors qu'on les appelle aliénés, spirites, bruts, naïfs, populaires ou authentiques, ce sont à eux que nous devrions réserver le nom d'artistes, car il ne leur a été donné par personne, ils l'ont gagné de haute lutte, parfois même ils ont dû le "reprendre à l'ennemi", comme disait Gérard Gasiorowski, qui a livré au début des années 1970 une véritable guerre à la peinture, jusque dans ses ultimes retranchements, les Croûtes, allant jusqu'à peindre même avec le jus de ses excréments. Comme Van Gogh, comme Coutelas, nous devrions saluer avec Artaud tout individu qui tient "le plus au monde à son idée de peintre, sa terrible idée fanatique, apocalyptique d'illuminé".
in Les arts dessinés > 23 (juillet/septembre 2023) . - p. 132-135[article] Robert Coutelas, artiste de la liberté (ou de la mort) [texte imprimé] / Stéphane Corréard, Auteur . - 2023 . - p. 132-135.
Langues : Français (fre)
in Les arts dessinés > 23 (juillet/septembre 2023) . - p. 132-135
Catégories : C:Coutelas, Robert (1930-1985) Résumé : Pour beaucoup, être artiste est une occupation, un métier, une carrière, voire une posture. D'autres, comme Robert Coutelas (1930-1985), préfèrent "devenir fous, dans le sens où socialement on l'entend, que de forfaire à une certaine idée supérieure de l'honneur humain", comme l'a écrit Antonin Artaud à propos de Vincent Van Gogh. Peu importe alors qu'on les appelle aliénés, spirites, bruts, naïfs, populaires ou authentiques, ce sont à eux que nous devrions réserver le nom d'artistes, car il ne leur a été donné par personne, ils l'ont gagné de haute lutte, parfois même ils ont dû le "reprendre à l'ennemi", comme disait Gérard Gasiorowski, qui a livré au début des années 1970 une véritable guerre à la peinture, jusque dans ses ultimes retranchements, les Croûtes, allant jusqu'à peindre même avec le jus de ses excréments. Comme Van Gogh, comme Coutelas, nous devrions saluer avec Artaud tout individu qui tient "le plus au monde à son idée de peintre, sa terrible idée fanatique, apocalyptique d'illuminé".