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Jeanne Du Barry, "la faute est aux dieux qui la firent si belle" / Nathalie d' Alincourt in L'Estampille/L'objet d'art, 610 (avril2024)
[article]
Titre : Jeanne Du Barry, "la faute est aux dieux qui la firent si belle" Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie d' Alincourt, Intervieweur ; Olivier Paze-Mazzi, Intervieweur ; Emmanuel de Waresquiel, Personne interviewée Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 68-73 Langues : Français (fre) Catégories : A:Allegrain, Christophe Gabriel (1710-1795)
A:Arts décoratifs -- France -- 18e siècle
B:Boizot, Louis-Simon (1743-1809)
C:Cagny, Jean-Baptiste (17..-17..)
C:Carlin, Martin (1730-1785)
D:Décoration et ornement -- Style Louis XV
D:Delanois, Louis (1731-1792)
D:Du Barry, Jeanne Bécu (1743-1793 ; comtesse)
F:Fontainebleau (Seine-et-Marne) -- Château
F:France -- 1715-1774 (Louis XV)
F:France -- Ancien régime
G:Gondouin, Jacques (1737-1818)
G:Gouthière, Pierre (1732-1813)
G:Guichard, Nicolas (17..-17..)
L:Ledoux, Claude Nicolas (1736-1806)
L:Louis XV (roi de France ; 1710-1774)
L:Louveciennes (Yvelines, France) -- Château
M:Mécènes
M:Moreau, Jean-Michel (1741-1814)
M:Mouvement des Lumières
P:Pajou, Augustin (1730-1809)
P:Passemant, Claude Siméon (1702-1769)
R:Robert, Hubert (1733-1808)
R:Rois et souverains -- Maîtresses
V:Vigée Le Brun, Louise-Élisabeth (1755-1842)Résumé : Décryptant habituellement la Révolution, l'Empire et les monarchies constitutionnelles, l'historien Emmanuel de Waresquiel s'est laissé séduire par le charme ensorcelant et la personnalité brillante de celle qui fut peut-être la femme la plus ravissante de l'Ancien Régime. Publiée récemment aux éditions Tallandier, la biographie qu'il consacre à Jeanne Du Barry dresse un portrait inédit de la dernière favorite du roi Louis XV qui, loin du personnage sulfureux que l'Histoire a voulu retenir, s'imposa surtout comme l'un des plus grands mécènes du Siècle des Lumières. Celui qui se définit comme un homme de "sources" ou de "traces" a également retrouvé l'identité du véritable père de Jeanne, le financier Claude Billard du Monceau, ainsi que sa fille cachée, Marie-Joseph Bécu de Cantigny, dite "Betsi". Il s'en ouvre aux lecteurs de "L'Objet d'Art".
in L'Estampille/L'objet d'art > 610 (avril2024) . - p. 68-73[article] Jeanne Du Barry, "la faute est aux dieux qui la firent si belle" [texte imprimé] / Nathalie d' Alincourt, Intervieweur ; Olivier Paze-Mazzi, Intervieweur ; Emmanuel de Waresquiel, Personne interviewée . - 2024 . - p. 68-73.
Langues : Français (fre)
in L'Estampille/L'objet d'art > 610 (avril2024) . - p. 68-73
Catégories : A:Allegrain, Christophe Gabriel (1710-1795)
A:Arts décoratifs -- France -- 18e siècle
B:Boizot, Louis-Simon (1743-1809)
C:Cagny, Jean-Baptiste (17..-17..)
C:Carlin, Martin (1730-1785)
D:Décoration et ornement -- Style Louis XV
D:Delanois, Louis (1731-1792)
D:Du Barry, Jeanne Bécu (1743-1793 ; comtesse)
F:Fontainebleau (Seine-et-Marne) -- Château
F:France -- 1715-1774 (Louis XV)
F:France -- Ancien régime
G:Gondouin, Jacques (1737-1818)
G:Gouthière, Pierre (1732-1813)
G:Guichard, Nicolas (17..-17..)
L:Ledoux, Claude Nicolas (1736-1806)
L:Louis XV (roi de France ; 1710-1774)
L:Louveciennes (Yvelines, France) -- Château
M:Mécènes
M:Moreau, Jean-Michel (1741-1814)
M:Mouvement des Lumières
P:Pajou, Augustin (1730-1809)
P:Passemant, Claude Siméon (1702-1769)
R:Robert, Hubert (1733-1808)
R:Rois et souverains -- Maîtresses
V:Vigée Le Brun, Louise-Élisabeth (1755-1842)Résumé : Décryptant habituellement la Révolution, l'Empire et les monarchies constitutionnelles, l'historien Emmanuel de Waresquiel s'est laissé séduire par le charme ensorcelant et la personnalité brillante de celle qui fut peut-être la femme la plus ravissante de l'Ancien Régime. Publiée récemment aux éditions Tallandier, la biographie qu'il consacre à Jeanne Du Barry dresse un portrait inédit de la dernière favorite du roi Louis XV qui, loin du personnage sulfureux que l'Histoire a voulu retenir, s'imposa surtout comme l'un des plus grands mécènes du Siècle des Lumières. Celui qui se définit comme un homme de "sources" ou de "traces" a également retrouvé l'identité du véritable père de Jeanne, le financier Claude Billard du Monceau, ainsi que sa fille cachée, Marie-Joseph Bécu de Cantigny, dite "Betsi". Il s'en ouvre aux lecteurs de "L'Objet d'Art". Maryvonne Pinault, amatrice et mécène très discrète / Jeanne Faton in L'Estampille/L'objet d'art, 500 ([01/04/2014])
[article]
Titre : Maryvonne Pinault, amatrice et mécène très discrète Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeanne Faton, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 52-55 Langues : Français (fre) Catégories : A:Art -- Collectionneurs et collections
A:Arts décoratifs -- 18e siècle
G:Gourdin (famille)
G:Gouthière, Pierre (1732-1813)
M:Mécènes
P:Porcelaine -- Chine -- 1654-1722 (Période Kangxi)Résumé : Maryvonne Pinault est sans doute l'une des personnalités les plus discrètes de la scène culturelle française. Pourtant, elle est profondément investie dans le soutien des institutions culturelles et muséales et dans la défense du patrimoine français. Une action qui est indissociable de sa passion et de sa connaissance du XVIIIe siècle français, et de l'extraordinaire collection qu'elle a réunie dans ce domaine. Retour sur un parcours.
in L'Estampille/L'objet d'art > 500 [01/04/2014] . - p. 52-55[article] Maryvonne Pinault, amatrice et mécène très discrète [texte imprimé] / Jeanne Faton, Auteur . - 2014 . - p. 52-55.
Langues : Français (fre)
in L'Estampille/L'objet d'art > 500 [01/04/2014] . - p. 52-55
Catégories : A:Art -- Collectionneurs et collections
A:Arts décoratifs -- 18e siècle
G:Gourdin (famille)
G:Gouthière, Pierre (1732-1813)
M:Mécènes
P:Porcelaine -- Chine -- 1654-1722 (Période Kangxi)Résumé : Maryvonne Pinault est sans doute l'une des personnalités les plus discrètes de la scène culturelle française. Pourtant, elle est profondément investie dans le soutien des institutions culturelles et muséales et dans la défense du patrimoine français. Une action qui est indissociable de sa passion et de sa connaissance du XVIIIe siècle français, et de l'extraordinaire collection qu'elle a réunie dans ce domaine. Retour sur un parcours. Petit bestiaire des arts décoratifs / Arsac, Lionel in Dossier de l'art, 293 (novembre 2021)
[article]
Titre : Petit bestiaire des arts décoratifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Arsac, Lionel, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 66-71 Langues : Français (fre) Catégories : A:Animaux -- Dans l'art
A:Arts décoratifs -- France
G:Gouthière, Pierre (1732-1813)
L:Laques (arts décoratifs) -- Japon
M:Musée national du Château de Versailles et de Trianon
P:Pietra dura
P:Porcelaine de Sèvres -- 18e siècle
T:Thomire, Pierre-Philippe (1751-1843)Résumé : Le règne animal fut une formidable source d'inspiration pour les arts décoratifs. Au-delà de l'aspect purement formel qui pouvait conférer aux oeuvres zoomorphes une grande originalité, les artistes utilisèrent volontiers la dimension symbolique ou allégorique des animaux et s'approprièrent aussi largement l'héraldique très présente à Versailles, qui permettait de figurer derrière un combat d'animaux la lutte des puissances ennemies. L'anthropomorphisation des animaux qui triompha avec Charles Le Brun se prêtait bien à cet usage, comme en témoigne le candélabre de l'Indépendance américaine où le léopard anglais, la mine docile, semble dompté par un coq criant victoire, les ailes déployées. Les arts décoratifs héritaient enfin du goût pour les sciences naturelles de leur temps, semblant puiser parfois directement aux planches de l'"Histoire Naturelle" de Buffon.
in Dossier de l'art > 293 (novembre 2021) . - p. 66-71[article] Petit bestiaire des arts décoratifs [texte imprimé] / Arsac, Lionel, Auteur . - 2021 . - p. 66-71.
Langues : Français (fre)
in Dossier de l'art > 293 (novembre 2021) . - p. 66-71
Catégories : A:Animaux -- Dans l'art
A:Arts décoratifs -- France
G:Gouthière, Pierre (1732-1813)
L:Laques (arts décoratifs) -- Japon
M:Musée national du Château de Versailles et de Trianon
P:Pietra dura
P:Porcelaine de Sèvres -- 18e siècle
T:Thomire, Pierre-Philippe (1751-1843)Résumé : Le règne animal fut une formidable source d'inspiration pour les arts décoratifs. Au-delà de l'aspect purement formel qui pouvait conférer aux oeuvres zoomorphes une grande originalité, les artistes utilisèrent volontiers la dimension symbolique ou allégorique des animaux et s'approprièrent aussi largement l'héraldique très présente à Versailles, qui permettait de figurer derrière un combat d'animaux la lutte des puissances ennemies. L'anthropomorphisation des animaux qui triompha avec Charles Le Brun se prêtait bien à cet usage, comme en témoigne le candélabre de l'Indépendance américaine où le léopard anglais, la mine docile, semble dompté par un coq criant victoire, les ailes déployées. Les arts décoratifs héritaient enfin du goût pour les sciences naturelles de leur temps, semblant puiser parfois directement aux planches de l'"Histoire Naturelle" de Buffon.