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170 - janvier 2010 - peintures françaises du XVIIIe des églises de Paris (Bulletin de Dossier de l'art)
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SLT-DA-170 DA-170 Périodique Bibliothèque Saint-Luc de Tournai réserve Disponible L'ambre, l'or du Nord / Camille Jolin in L'Estampille/L'objet d'art, 604 (octobre 2023)
[article]
Titre : L'ambre, l'or du Nord Type de document : texte imprimé Auteurs : Camille Jolin, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 24-27 Langues : Français (fre) Catégories : A:Ambre (résine fossile)
A:Arts décoratifs -- 16e siècle
A:Arts décoratifs -- 17e siècle
A:Arts décoratifs -- 18e siècle
C:Cabinets de curiosités
E:Echecs (jeu)
G:Galerie Jacques Kugel (Paris)
L:Labhart, Johan Caspar (16..-1726)
M:Meyer, Andreas (15..-1647)
O:Orfèvrerie -- Allemagne -- 16e siècle
O:Orfèvrerie -- Allemagne -- 17e siècle
O:Orfèvrerie -- Allemagne -- 18e siècle
O:Orfèvrerie -- Allemagne -- 19e siècle
R:Redlin, Michel (16..-16..)
S:Schreiber, Georg (15..-1643)
V:Vasters, Reinhold (1827-1909)Résumé : Dès la préhistoire, l'ambre a été recherché pour sa beauté, mais aussi pour ses origines mystérieuses voire mythologiques. De nombreux récits à travers le monde en font ainsi les larmes d'une divinité. De manière plus pragmatique mais tout aussi fantaisiste, on y a également vu du sperme de baleine, de l'urine de lynx solidifiée, de la cire de fourmi ou encore du miel minéralisé. Entrevue par Pline l'Ancien, sa nature végétale ne sera définitivement confirmée qu'au XVIIIe siècle par Buffon, Linné et Lomonossov. Vieux de 40 millions d'années, l'ambre de la Baltique est le plus utilisé en Europe. D'abord étroitement contrôlé par les chevaliers teutoniques, son commerce fait la fortune de la Prusse à partir du XVIe siècle. Königsberg (actuelle Kaliningrad), la capitale du duché, et Dantzig (aujourd'hui Gdansk en Pologne), deviennent rapidement les deux centres majeurs de production. Le prestige associé à ce matériau en fait un cadeau diplomatique de premier choix et des objets en ambre d'une grande richesse décorative rejoignent les cabinets de curiosités de tous les princes d'Europe. Première manifestation dédiée à ce matériau en France, l'exposition organisée par la galerie Kugel présente une cinquantaine de pièces, exécutées entre le XVIe et le XVIIIe siècle.
in L'Estampille/L'objet d'art > 604 (octobre 2023) . - p. 24-27[article] L'ambre, l'or du Nord [texte imprimé] / Camille Jolin, Auteur . - 2023 . - p. 24-27.
Langues : Français (fre)
in L'Estampille/L'objet d'art > 604 (octobre 2023) . - p. 24-27
Catégories : A:Ambre (résine fossile)
A:Arts décoratifs -- 16e siècle
A:Arts décoratifs -- 17e siècle
A:Arts décoratifs -- 18e siècle
C:Cabinets de curiosités
E:Echecs (jeu)
G:Galerie Jacques Kugel (Paris)
L:Labhart, Johan Caspar (16..-1726)
M:Meyer, Andreas (15..-1647)
O:Orfèvrerie -- Allemagne -- 16e siècle
O:Orfèvrerie -- Allemagne -- 17e siècle
O:Orfèvrerie -- Allemagne -- 18e siècle
O:Orfèvrerie -- Allemagne -- 19e siècle
R:Redlin, Michel (16..-16..)
S:Schreiber, Georg (15..-1643)
V:Vasters, Reinhold (1827-1909)Résumé : Dès la préhistoire, l'ambre a été recherché pour sa beauté, mais aussi pour ses origines mystérieuses voire mythologiques. De nombreux récits à travers le monde en font ainsi les larmes d'une divinité. De manière plus pragmatique mais tout aussi fantaisiste, on y a également vu du sperme de baleine, de l'urine de lynx solidifiée, de la cire de fourmi ou encore du miel minéralisé. Entrevue par Pline l'Ancien, sa nature végétale ne sera définitivement confirmée qu'au XVIIIe siècle par Buffon, Linné et Lomonossov. Vieux de 40 millions d'années, l'ambre de la Baltique est le plus utilisé en Europe. D'abord étroitement contrôlé par les chevaliers teutoniques, son commerce fait la fortune de la Prusse à partir du XVIe siècle. Königsberg (actuelle Kaliningrad), la capitale du duché, et Dantzig (aujourd'hui Gdansk en Pologne), deviennent rapidement les deux centres majeurs de production. Le prestige associé à ce matériau en fait un cadeau diplomatique de premier choix et des objets en ambre d'une grande richesse décorative rejoignent les cabinets de curiosités de tous les princes d'Europe. Première manifestation dédiée à ce matériau en France, l'exposition organisée par la galerie Kugel présente une cinquantaine de pièces, exécutées entre le XVIe et le XVIIIe siècle. Ambre / Alexis Kugel (2023)
Titre : Ambre : Trésors de la Mer Baltique du XVIe au XVIIIe siècle Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexis Kugel, Préfacier, etc. ; Rahul Kulka, Auteur ; Sharon Kerman, Traducteur Editeur : Paris : Editions Monelle Hayot Année de publication : 2023 Autre Editeur : Paris : Galerie Kugel Titres uniformes : [Exposition. Paris, Galerie Kugel. 2023-10-18] Importance : 368 p. Présentation : ill. en coul. Format : 31 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-96561-32-2 Prix : 100 € Langues : Français (fre) Catégories : A:Ambre (résine fossile)
A:Arts décoratifs -- 16e siècle
A:Arts décoratifs -- 17e siècle
A:Arts décoratifs -- 18e siècle
B:Boîtes décoratives
F:Flacons de parfum
T:TabatièresIndex. décimale : 739.2 joaillerie, bijouterie Résumé : De l'poque romaine jusqu'au XVIIIe siècle, les savants se perdirent en conjectures sur l'origine de l'ambre, certains la définissant comme du sperme de baleine, d'autres comme l'urine du lynx solidifiée. Son mystère la parait de vertus médicinales. Elle était recommandée en poudre pour guérir, entre autres, la mélancolie, le mal de dent ou l'épilepsie, et comme filtre d'amour. Les inclusions d'insectes ou de petits animaux qu'on y trouve parfois prisonniers font de l'ambre un symbole d'immortalité.
Pline l'Ancien devine sa nature en y voyant le résultat d'une résine végétale, mais ce n'est qu'en 1757 que le savant russe Mikhaïl Lomonossov examina son origine réelle. Il s'agit d'une résine fossilisée provenant, pour les objets de cette exposition, d'une forêt préhistorique datant d'environ 30 à 40 millions d'années située sous la mer Baltique, entre les villes de Dantzig (aujourd'hui Gdansk en Pologne) et Königsberg (aujourd'hui Kaliningrad en Russie), alors en Prusse orientale.
Au XVIe siècle, le grand-maître Albert de Brandebourg-Ansbach (1490-1568) se convertit au protestantisme et transforme l'Ordre des Chevaliers Teutoniques en duché de Prusse. C'est le début d'une formidable expansion du commerce et de la production d'objets d'art en ambre. Ils deviennent des cadeaux diplomatiques de la Prusse par excellence et son recherchés pour orner les "Kunstkammern" des souverains et des princes de l'Europe.
Il a fallu près de vingt ans pour réunir la cinquantaine d'oeuvres qui sont présentées lors de l'exposition. Mêlant sculptures, coffrets, coupes et jeux, l'immense variété des pièces illustre la fascination pour l'ambre du XVIe au XVIIIe siècle et le talent des artistes pour mettre en valeur toutes les nuances de cette matière extraordinaire.Ambre : Trésors de la Mer Baltique du XVIe au XVIIIe siècle [texte imprimé] / Alexis Kugel, Préfacier, etc. ; Rahul Kulka, Auteur ; Sharon Kerman, Traducteur . - Paris : Editions Monelle Hayot : Paris : Galerie Kugel, 2023 . - 368 p. : ill. en coul. ; 31 cm.
ISBN : 979-10-96561-32-2 : 100 €
Oeuvre : [Exposition. Paris, Galerie Kugel. 2023-10-18]
Langues : Français (fre)
Catégories : A:Ambre (résine fossile)
A:Arts décoratifs -- 16e siècle
A:Arts décoratifs -- 17e siècle
A:Arts décoratifs -- 18e siècle
B:Boîtes décoratives
F:Flacons de parfum
T:TabatièresIndex. décimale : 739.2 joaillerie, bijouterie Résumé : De l'poque romaine jusqu'au XVIIIe siècle, les savants se perdirent en conjectures sur l'origine de l'ambre, certains la définissant comme du sperme de baleine, d'autres comme l'urine du lynx solidifiée. Son mystère la parait de vertus médicinales. Elle était recommandée en poudre pour guérir, entre autres, la mélancolie, le mal de dent ou l'épilepsie, et comme filtre d'amour. Les inclusions d'insectes ou de petits animaux qu'on y trouve parfois prisonniers font de l'ambre un symbole d'immortalité.
Pline l'Ancien devine sa nature en y voyant le résultat d'une résine végétale, mais ce n'est qu'en 1757 que le savant russe Mikhaïl Lomonossov examina son origine réelle. Il s'agit d'une résine fossilisée provenant, pour les objets de cette exposition, d'une forêt préhistorique datant d'environ 30 à 40 millions d'années située sous la mer Baltique, entre les villes de Dantzig (aujourd'hui Gdansk en Pologne) et Königsberg (aujourd'hui Kaliningrad en Russie), alors en Prusse orientale.
Au XVIe siècle, le grand-maître Albert de Brandebourg-Ansbach (1490-1568) se convertit au protestantisme et transforme l'Ordre des Chevaliers Teutoniques en duché de Prusse. C'est le début d'une formidable expansion du commerce et de la production d'objets d'art en ambre. Ils deviennent des cadeaux diplomatiques de la Prusse par excellence et son recherchés pour orner les "Kunstkammern" des souverains et des princes de l'Europe.
Il a fallu près de vingt ans pour réunir la cinquantaine d'oeuvres qui sont présentées lors de l'exposition. Mêlant sculptures, coffrets, coupes et jeux, l'immense variété des pièces illustre la fascination pour l'ambre du XVIe au XVIIIe siècle et le talent des artistes pour mettre en valeur toutes les nuances de cette matière extraordinaire.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SLT-28365 739.2-KUG-A Livre Bibliothèque Saint-Luc de Tournai bibliothèque centrale Disponible Antica Namur, qualité intemporelle / Céline De Geest in Collect, 520 (novembre 2022)
[article]
Titre : Antica Namur, qualité intemporelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Céline De Geest, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 64-67 Langues : Français (fre) Catégories : A:Art -- Commerce
A:Art déco
A:Arts décoratifs -- 18e siècle
F:Foires
G:Goudji (1941-....)
G:Guerrier, Francis (1964-....)
L:Laques (arts décoratifs) -- Japon
M:Montres-bracelets
N:Namur (Belgique)
Z:Zeenni, Sandra (1968-....)Résumé : Antica Namur est de retour ! Les invités étrangers, parmi les plus appréciés, seront à nouveau présents au salon. Certaines de ces galeries viennent depuis des décennies à Namur, où elles s'y sont forgées une réputation et entendent la défendre. Si ces marchands sont devenus des valeurs sûres pour la foire, l'inverse est également vrai. Car Antica Namur représente pour eux un rituel, un salon qu'ils ne veulent manquer à aucun prix.
in Collect > 520 (novembre 2022) . - p. 64-67[article] Antica Namur, qualité intemporelle [texte imprimé] / Céline De Geest, Auteur . - 2022 . - p. 64-67.
Langues : Français (fre)
in Collect > 520 (novembre 2022) . - p. 64-67
Catégories : A:Art -- Commerce
A:Art déco
A:Arts décoratifs -- 18e siècle
F:Foires
G:Goudji (1941-....)
G:Guerrier, Francis (1964-....)
L:Laques (arts décoratifs) -- Japon
M:Montres-bracelets
N:Namur (Belgique)
Z:Zeenni, Sandra (1968-....)Résumé : Antica Namur est de retour ! Les invités étrangers, parmi les plus appréciés, seront à nouveau présents au salon. Certaines de ces galeries viennent depuis des décennies à Namur, où elles s'y sont forgées une réputation et entendent la défendre. Si ces marchands sont devenus des valeurs sûres pour la foire, l'inverse est également vrai. Car Antica Namur représente pour eux un rituel, un salon qu'ils ne veulent manquer à aucun prix. Chefs-d'oeuvre dessinés / Mathilde Dillmann in L'Estampille/L'objet d'art, 599 (avril 2023)
[article]
Titre : Chefs-d'oeuvre dessinés Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathilde Dillmann, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 8-9 Langues : Français (fre) Catégories : A:Arts décoratifs -- 18e siècle
D:Dessin -- Italie -- 18e siècle
D:Dessin -- Pays-Bas -- 18e siècle
F:Foggini, Giovanni Battista (1652-1725)
L:Lugt, Frits (1884-1970) -- Collections d'art
M:Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique (Bruxelles)
R:Rijksmuseum (Amsterdam)
V:Van Drielst, Egbert (1745-1818)Résumé : La Fondation Custodia poursuit sa mise en lumière du dessin européen, entreprise il y a une douzaine d'années par son regretté Ger Luijten (1956-2022), en exposant deux collections remarquables : la première récemment constituée par le Rijksmuseum est consacrée aux arts décoratifs, et la seconde, composée de feuilles hollandaises du XVIIIe siècle, est conservée aux musées royaux des Beaux-Arts de Belgique.
in L'Estampille/L'objet d'art > 599 (avril 2023) . - p. 8-9[article] Chefs-d'oeuvre dessinés [texte imprimé] / Mathilde Dillmann, Auteur . - 2023 . - p. 8-9.
Langues : Français (fre)
in L'Estampille/L'objet d'art > 599 (avril 2023) . - p. 8-9
Catégories : A:Arts décoratifs -- 18e siècle
D:Dessin -- Italie -- 18e siècle
D:Dessin -- Pays-Bas -- 18e siècle
F:Foggini, Giovanni Battista (1652-1725)
L:Lugt, Frits (1884-1970) -- Collections d'art
M:Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique (Bruxelles)
R:Rijksmuseum (Amsterdam)
V:Van Drielst, Egbert (1745-1818)Résumé : La Fondation Custodia poursuit sa mise en lumière du dessin européen, entreprise il y a une douzaine d'années par son regretté Ger Luijten (1956-2022), en exposant deux collections remarquables : la première récemment constituée par le Rijksmuseum est consacrée aux arts décoratifs, et la seconde, composée de feuilles hollandaises du XVIIIe siècle, est conservée aux musées royaux des Beaux-Arts de Belgique. Chez un seigneur de la jet-set / Myriam Boutoulle in Connaissance des arts, 751 (septembre 2016)
PermalinkDans l'hôtel du baron Hottinguer / Céline Lefranc in Connaissance des arts, 611 (décembre 2003)
PermalinkL'Estampille/L'objet d'art 432 (Bulletin de L'Estampille/L'objet d'art, 432 [01/02/2008])
PermalinkExiste-t-il un style Marie-Antoinette ? / Valérie Bougault in Connaissance des arts, 658 (mars 2008)
PermalinkIvoires de Russie / Guy Boyer in Connaissance des arts, 612 (janvier 2004)
PermalinkJean-Claude Brialy côté coulisses / Valérie Bougault in Connaissance des arts, 713 (mars 2013)
PermalinkMaryvonne Pinault, amatrice et mécène très discrète / Jeanne Faton in L'Estampille/L'objet d'art, 500 ([01/04/2014])
PermalinkLes mystères de la pierre rouge / Sylvie Blin in Connaissance des arts, 611 (décembre 2003)
PermalinkNombreuses préemptions pour les trésors de l'Hôtel Lambert chez Sotheby's / Olivier Paze-Mazzi in L'Estampille/L'objet d'art, 594 (novembre 2022)
PermalinkPâtes tendres de Tournai / Françoise Chauvin in Connaissance des arts, 622 (décembre 2004)
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