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Beautés d'antan... / Frederik F. Barends in Collect, 409 (mai 2010)
[article]
Titre : Beautés d'antan... Type de document : texte imprimé Auteurs : Frederik F. Barends, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 48-53 Langues : Français (fre) Catégories : A:Art -- Pays-Bas -- 17e siècle
G:Galleria Doria-Pamphilj (Rome)
I:Illustrations, images, etc. -- Interprétation
N:Nature morte -- 17e siècle
P:Peinture -- Pays-Bas -- 17e siècle
V:van Kessel, Jan I (1626-1679)Résumé : Prodigieux. C'est généralement le premier mot qui vient à l'esprit des visiteurs de la Galleria Doria Pamphilj à Rome lorsqu'ils découvrent les deux tableaux présentés ici. Il n'y a d'ailleurs pas de terme plus juste pour désigner en particulier l'approche thématique de cet artiste. Par leur composition à l'horizontale, ces peintures sont déjà bien singulières en soi pour qui les observe, mais à y regarder de plus près, on s'aperçoit aussi qu'elles s'assemblent pour former une seule pièce.
in Collect > 409 (mai 2010) . - p. 48-53[article] Beautés d'antan... [texte imprimé] / Frederik F. Barends, Auteur . - 2010 . - p. 48-53.
Langues : Français (fre)
in Collect > 409 (mai 2010) . - p. 48-53
Catégories : A:Art -- Pays-Bas -- 17e siècle
G:Galleria Doria-Pamphilj (Rome)
I:Illustrations, images, etc. -- Interprétation
N:Nature morte -- 17e siècle
P:Peinture -- Pays-Bas -- 17e siècle
V:van Kessel, Jan I (1626-1679)Résumé : Prodigieux. C'est généralement le premier mot qui vient à l'esprit des visiteurs de la Galleria Doria Pamphilj à Rome lorsqu'ils découvrent les deux tableaux présentés ici. Il n'y a d'ailleurs pas de terme plus juste pour désigner en particulier l'approche thématique de cet artiste. Par leur composition à l'horizontale, ces peintures sont déjà bien singulières en soi pour qui les observe, mais à y regarder de plus près, on s'aperçoit aussi qu'elles s'assemblent pour former une seule pièce. Le Rijksmuseum rejoue Microcosmos / Nathalie d' Alincourt in L'Estampille/L'objet d'art, 595 (décembre 2022)
[article]
Titre : Le Rijksmuseum rejoue Microcosmos Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie d' Alincourt, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 26-29 Langues : Français (fre) Catégories : D:Dürer, Albrecht (1471-1528)
I:Insectes -- Dans l'art
M:Merian, Maria Sibylla (1647-1717)
N:Naturalisme (art)
O:Orfèvrerie -- Pays-Bas -- 17e siècle
P:Papillons
P:Pfaff, Nicolas (15..-16..)
R:Rijksmuseum (Amsterdam)
V:van Kessel, Jan I (1626-1679)Résumé : Jusqu'au Moyen Age la croyance populaire attribuait l'origine des insectes à un phénomène de "génération spontanée", on pensait que les créatures rampantes prenaient naissance dans la putréfaction des plantes en décomposition ou dans la boue ; symboles de mort, ces "bêtes du diable" étaient associées au péché. Ainsi, les oeuvres d'art représentant des insectes, lézards, ou autres serpents et crapauds inspiraient de la répulsion. Cette image évolue à partir de la Renaissance lorsque les insectes deviennent progressivement des objets d'étude pour les scientifiques et sont collectés dans les cabinets d'histoire naturelle. On comprend comment ils se reproduisent et se transforment au cours de leur existence. Admirées pour leur esthétique, toutes sortes de bêtes rampantes entre dans le "Kunstkammern" des princes européens. On y voit le fruit de la création divine. Plus tard, le XVIIe siècle invente même en peinture un sous-genre de la nature morte, le "Sottobosco". C'est cette évolution que retrace l'exposition "Bestioles" au fil de prêts exceptionnels et d'une scénographie spectaculaire. Plusieurs artistes contemporains ont été conviés à montrer leurs oeuvres, à l'instar de l'argentin Tomas Saraceno, célèbre pour ses toiles d'araignées géantes qui rappellent le lien unissant les hommes à l'écosystème terrestre et du colombien Rafael Gomezbarros avec son installation de 700 fourmis géantes, intitulée "Casa Tomada", dont le but est de sensibiliser le public aux flux migratoires et au transfert forcé de populations.
in L'Estampille/L'objet d'art > 595 (décembre 2022) . - p. 26-29[article] Le Rijksmuseum rejoue Microcosmos [texte imprimé] / Nathalie d' Alincourt, Auteur . - 2022 . - p. 26-29.
Langues : Français (fre)
in L'Estampille/L'objet d'art > 595 (décembre 2022) . - p. 26-29
Catégories : D:Dürer, Albrecht (1471-1528)
I:Insectes -- Dans l'art
M:Merian, Maria Sibylla (1647-1717)
N:Naturalisme (art)
O:Orfèvrerie -- Pays-Bas -- 17e siècle
P:Papillons
P:Pfaff, Nicolas (15..-16..)
R:Rijksmuseum (Amsterdam)
V:van Kessel, Jan I (1626-1679)Résumé : Jusqu'au Moyen Age la croyance populaire attribuait l'origine des insectes à un phénomène de "génération spontanée", on pensait que les créatures rampantes prenaient naissance dans la putréfaction des plantes en décomposition ou dans la boue ; symboles de mort, ces "bêtes du diable" étaient associées au péché. Ainsi, les oeuvres d'art représentant des insectes, lézards, ou autres serpents et crapauds inspiraient de la répulsion. Cette image évolue à partir de la Renaissance lorsque les insectes deviennent progressivement des objets d'étude pour les scientifiques et sont collectés dans les cabinets d'histoire naturelle. On comprend comment ils se reproduisent et se transforment au cours de leur existence. Admirées pour leur esthétique, toutes sortes de bêtes rampantes entre dans le "Kunstkammern" des princes européens. On y voit le fruit de la création divine. Plus tard, le XVIIe siècle invente même en peinture un sous-genre de la nature morte, le "Sottobosco". C'est cette évolution que retrace l'exposition "Bestioles" au fil de prêts exceptionnels et d'une scénographie spectaculaire. Plusieurs artistes contemporains ont été conviés à montrer leurs oeuvres, à l'instar de l'argentin Tomas Saraceno, célèbre pour ses toiles d'araignées géantes qui rappellent le lien unissant les hommes à l'écosystème terrestre et du colombien Rafael Gomezbarros avec son installation de 700 fourmis géantes, intitulée "Casa Tomada", dont le but est de sensibiliser le public aux flux migratoires et au transfert forcé de populations. Les trésors de la Biennale / Collectif in Connaissance des arts, 641 (septembre 2006)